Les énergies renouvelables et les émissions de CO2 sont-elles compatibles ?
Pour faire face au réchauffement climatique, les acteurs des énergies renouvelables cherchent de nouvelles solutions. Derrière les projets qui se développent à travers le monde, une question reste en suspens… Comment répondre à la demande de consommation électrique tout en limitant les émissions de CO2 ?
Le solaire flottant est une partie de la réponse. En effet, cette application supplémentaire est aujourd’hui considérée comme le « troisième pilier de l’industrie solaire », aux côtés des toitures et des centrales au sol. Pour preuve, le nombre de projets augmente ainsi que la taille des centrales FPV. C’est pourquoi la question de la minimisation des impacts de la production et du transport, ainsi que de l’empreinte carbone, devient essentielle pour la croissance du marché. En effet, chaque activité, même lorsqu’il s’agit d’énergie renouvelable, a une empreinte carbone.
C’est l’une des raisons pour lesquelles chez Ciel & Terre nous avons mené une analyse précise concernant les émissions de CO2 du cycle de vie de nos produits.
SRÉSUMÉ DU LIVRE BLANC DE CIEL & TERRE SUR LES ÉMISSIONS DE CO2 DES PROJETS SOLAIRES FLOTTANTS :
Ce livre blanc aborde les points suivants :
- Le solaire flottant : principaux avantages et potentiel
- Les émissions de CO2 : considérations d’impact dans le développement de projets d’énergie renouvelable
- Une étude de cas : calculs de l’empreinte carbone d’une centrale basée en Europe centrale
L’énergie solaire flottante permet de réduire les émissions de CO2 :
Le photovoltaïque flottant présente également de nombreux avantages sociaux, environnementaux et économiques. En utilisant la surface de l’eau pour produire de l’énergie verte, il constitue une solution pour préserver des terres utiles pour d’autres usages, comme la conservation de zones naturelles ou le développement de sites agricoles.
L’étude de Ciel & Terre sur le cycle de vie des produits pour évaluer l’impact des émissions de CO2 de ses solutions
« Ciel & Terre a travaillé dur pour améliorer l’empreinte carbone de ses solutions en prenant en compte le cycle de vie d’un produit (ACV) – depuis l’acquisition des ressources en matières premières jusqu’à la fin de vie du produit (ISO 14040 2006). En partenariat avec une école d’ingénieurs française, Ciel & Terre a mené la première étude pour évaluer l’empreinte carbone de son système Hydrelio® aiR. Ils ont identifié les principales sources de consommation de CO2, de la production à la livraison, et les autres paramètres à améliorer pour développer les solutions renouvelables les moins émettrices de CO2. »
Pour en savoir plus, téléchargez le livre blanc en cliquant ci-dessous :
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